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19 décembre 2007 3 19 /12 /décembre /2007 18:07
Depuis plus d’un siècle le Rhin est sillonné par de nombreux bateaux en tous genres.
A Bâle ce sont les péniches qui font jusqu’à l’embouchure du Rhin le vrai visage du fleuve, celui d’une liaison commerciale avec le reste du monde. Pourtant dans sont parcourt le plus pittoresque on peut y voire quelques bateaux de plaisances et touristiques à la belle saison.
A Schaffhouse, il y a les chutes qui interdisent aux embarcations toute navigation commerciale entre Bâle et Constance. C’est pourquoi il y a plus de bateaux touristiques que marchands sur le trajet Schaffhouse Constance.
En voici quelques-uns…
 
 

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19 décembre 2007 3 19 /12 /décembre /2007 17:23
Ceux qui ont plus de 40 ans, se souviennent que l’hymne de notre pays était le même que celui des Britanniques. L'ancien hymne national Suisse se chantait donc sur la mélodie du "God save the Queen". Chose curieuse, mais pas unique, puisque plusieurs pays avaient cette hymne du moins pour la musique. Comme la Marseillaise elle aussi a été utilisée comme hymne nationale dans certains pays autre que la France.
 
O monts indépendants, répétez nos accents, nos libres chants.
A toi patrie, Suisse chérie, le sang, la vie de tes enfants. (bis)

Nous voulons nous unir, nous voulons tous mourir pour te servir.
O notre mère! de nous sois fière, sous ta bannière tous vont partir. (bis)

Gardons avec fierté l'arbre au Grutli planté la liberté!
Que d'âge en âge, malgré l'orage, cet héritage soit respecté. (bis)
 
Bon, alors en 1961 on remplace O monts indépendants par le Cantique suisse et on officialise le changement en 1965. (En laissant la porte ouverte à un possible bouleversement si l’on trouvait un hymne nouveau qui plairait à tous)
 
 « La Terre Helvétique », Hymne suisse primé au concours musical de l’Exposition nationale suisse. Genève 1896. Paroles de L. Wuarin, musique de E. Lauber. (Partition ci-dessous) Sans que je sache si cette « œuvre » a été officialisée ou pas pendant un période. Il semblerait que l’on ait cherché longtemps un hymne possible et sans trouver un consensus favorable, on gardait celui des débuts, celui de 1811. Dans 4 ans, on aura ainsi en deux cent ans employé une mélodie d’origine britannique, puis un cantique « très » suisse, mais pas franchement « emballant » pour peut-être encore une fois changer d’hymne quand le peuple l’aura trouvé !
 
 
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17 décembre 2007 1 17 /12 /décembre /2007 21:05

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La République Une et Indivisible...

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15 décembre 2007 6 15 /12 /décembre /2007 14:29
Michel Mayor
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et son collaborateur, Didier Queloz
 
Encore un suisse, patient et méticuleux qui parvint à discerner ce que d’autres ne voyaient pas. Peut-être faut-il être justement patient pour observer l’infime variation qu’une exo planète provoque près de son étoile. La lenteur supposée des suisses a-t-elle été un avantage ?
Enfin, c’est le monde entier qui apprend qu’il existe des planètes autres que celles de notre galaxie et que pour le moment elles sont  énormes. Une exo planète énorme pour courber la lumière de son étoile géante, pour qu’une mesure puisse ainsi être enregistrée sur terre et qu’un astrophysicien interprète juste les chiffres et les graphiques que l’ordinateur montrait à l’écran.
La théorie de la courbure de l’espace, la lumière qui se courbe auprès d’une masse énorme, avait été prouvée lors d’une éclipse de soleil, juste après qu’Einstein en ait énoncé la théorie de la relativité. Et c’est bien l’un de ces éléments de la théorie d’Einstein qui a servi à Michel Mayor pour découvrir l’exo planète à côté de l’étoile 51Pegasi. Quand un corps sombre passe devant une étoile, il y a une baisse d’intensité de la lumière émise par celle-ci. Impossible de distinguer le corps sombre, vu l’éloignement, mais on s’est posé la question, qu’est-ce qui fait que l’intensité de l’étoile baisse, juste un peu, juste assez pour que Michel Mayor interprète à juste titre qu’il s’agissait d’une planète qui passait devant l’étoile.
Depuis lors, le monde entier découvre ainsi des planètes de plus en plus nombreuses et de plus en plus petites, mais toujours d’énormes tailles et toujours gazeuses. Plus les instruments seront fins et les ordinateurs puissants, plus on va vers la découverte d’une planète tellurique, c’est-à-dire comme Mars ou notre Terre.
Ceci grâce à l’observatoire de Genève, celui de St. Luc et de Michel Mayor et ses collaborateurs.
 
gtell
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14 décembre 2007 5 14 /12 /décembre /2007 16:53
Vous êtes nombreux a passer sur HistAVoire, cependant vous êtes trop peu nombreux à laisser un commentaire sur les articles. Je ne sais si cela vous intéresse réellement, si je dois continuer à chercher dans mes livres une bribe d’histoire insolite concernant un suisse ou qui concerne la Suisse.  
Je reste persuadé que vous aurez trouvé ici quelques facettes de la petite histoire de Suisse ou de la grande histoire Helvétique que vous ne connaissiez pas ou que vous aviez oubliez.
Le jeu des « Blogs » consiste à une interactivité entre l’auteur du blog et de ses visiteurs. Vous êtes peut-être intéressés vous-même par l’histoire et vous aimeriez peut-être trouver ici un article d’une histoire, d’un homme ou d’une femme que je n’aurais pas encore parlé. Alors à vous de me signaler et d’attirer mon attention sur de tels points de notre histoire commune.
Merci encore aux 2711 personnes qui ont vues quelques 9809 pages à ce jour.
Gtell. 14 décembre 2007
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14 décembre 2007 5 14 /12 /décembre /2007 16:28

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François Pierre Ami ARGAND, dit Ami Argand, est né à Genève le 5 juillet 1750. Après avoir fait des études approfondies des sciences physiques, sous la direction de Lavoisier et de Fourcroy, il devint lui-même un bon physicien de son temps.
Son nom reste attaché à l’amélioration des lampes à huiles et à pétrole de son époque qui avaient des mèches plates et d’un éclairage moyen. Son procédé simple est pourtant révolutionnaire, c’est le cas de le dire ; d’une mèche droite et large, il en fit un cylindre, un tube, faisant cheminée et appel d’air tout au tour de la mèche. Ce qui devait améliorer la luminosité par rapport aux anciennes lampes et bougies de ce temps-là. Lemonnier et Brisson en firent un rapport favorable à l’Académie des sciences, le 7 septembre 1782, la même année qui voit ses travaux aboutirent au succès. Argand publia sa découverte dans une brochure qui a pour titre : « Description des lampes à courant d’air et à cylindre » (1785). Ambroise-Bonaventure Lange, pharmacien à Paris, ayant introduit quelques perfectionnements dans leur fabrication, s’associa à lui. Ils obtinrent, le 5 janvier 1787, des lettres patentes, leur accordant la permission exclusive de fabriquer et de vendre ces lampes, qui jouirent bientôt d’une grande faveur. Ce privilège fut aboli à la révolution. Un épicier, nommé Quinquet, ayant modifié à cette époque la forme des lampes d’Argand, on substitua son nom à celui de l’inventeur et on les appela dès lors lampes à la Quinquet. Ce fait ruina Argand.
Ce physicien avait aussi trouvé de nouveaux moyens de fabrication des eaux-de-vie, qui lui valurent l’approbation des états du Languedoc. Il travailla en 1783 avec Montgolfier à la construction des aérostats.
 
 
http://www.cndp.fr/RevueTDC/866-66097.htm un site sur l’éclairage au théâtre, intéressant.
 
http://books.google.com/books?id=jh4FAAAAQAAJ&pg=PA361&lpg=PA361&dq=lampe+%C3%A0+argand&source=web&ots=4g-VvC2qr6&sig=PCyPdUiW8UY6Y4UNLETrS1tv3UY#PPA355,M1 un site de la Bibliothèque britannique, super intéressant sur des testes de physique à propos de la lampe d’Argand, reproduction de textes de l’époque.
 
http://members.aol.com/Lumiara/fr/oilfr.htm un site sur différent becs des lampes à huiles.

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Sources, Internet et le Dictionnaire biographique des Genevois et des Vaudois qui se sont distingués dans leur pays ou à l'étranger. éd: Barré & Dayez, par Albert de Montet 1995
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14 décembre 2007 5 14 /12 /décembre /2007 13:03
Je remerciais toutes les personnes qui avaient décrit ces choses en détail. Si je ne l’avais pas su je serais facilement tombée dans l’insécurité. La méthode du flic « gentil » se distingue tellement de celle du flic « méchant » ; on a trop soif d’un signe humain. Mais je faisais attention, je n’étais pas tombée dans le piège. Et quand il m’a demandé à la fin s’il pouvait me rendre un service (un service personnel dont on ne parlerait plus ! par exemple, d’appeler quelqu’un ici en Suisse ou en Italie, d’appeler quelqu’un de mes proches, un ami, une amie – il affirmait qu’il n’exploiterait pas cette information) quand il raconta tout cela je lui dis : « oui, volontiers, informez mon fils ». « Mais bien sûr, ça va de soi ; tout de suite, à Pâques je le ferai de chez moi, donnez-moi seulement son adresse ». Encore une fois je me dis : « Fais gaffe ». Je répondis que je n’avais pas son adresse mais qu’il pouvait appeler mon avocat : « son numéro se trouve dans l’annuaire. C’est par son intermédiaire qu’on peut atteindre Marco ». Il n’a d’ailleurs jamais appelé.
Il m’avait aussi apporté un œuf de Pâques parce que nous étions le jeudi avant Pâques. C’est pourquoi il voulait me faire une petite surprise. Il ne me connaissait pas du tout mais voulait me faire plaisir. Je lui ai répondu que je ne mangeais pas d’œuf de Pâques. J’ai quand même accepté un paquet de cigarettes, je n’aurais pas dû ! C’est la trahison la plus grande que j’ai commise jusqu’à présent, ça, je ne me le pardonne pas.
 
Les trente-trois jours suivants ne passèrent guère autrement. J’étais un ballon de football qu’on shootait de la cellule à la salle des interrogatoires à travers le dédale des couloirs. A n’importe quelle heure, quelquefois deux fois par jour, mais toujours avec le même résultat : je ne disais rien mais j’apprenais de jour en jour de nouveaux faits écrasants.

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13 décembre 2007 4 13 /12 /décembre /2007 16:30
BERNE. A 10 h 40 hier matin, la terre a tremblé au Palais fédéral. Christoph Blocher a donc été évincé du gouvernement.

Est élu à sa place, Eveline Widmer-Schlumpf, fille de l'ancien conseiller fédéral, Léon Schlumpf, UDC modérée.

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12 décembre 2007 3 12 /12 /décembre /2007 11:57
Aujourd'hui 12 décembre 2007, Christophe Blocher n'est pas élu!

Ouf! Enfin un éclat, une élection pas convenue d'avance.
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11 décembre 2007 2 11 /12 /décembre /2007 21:38
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Voilà le canton le plus « allemand » ou le « moins Suisse » de notre pays !
Entendez-moi bien, je ne dis pas que Schaffhouse est un canton hors de la Suisse. Mais pour dire la vérité, Schaffhouse est bien de l’autre côté du Rhin et semble donc à l’extérieur du pays.
Pourtant, depuis le début du XVIe siècle, (1501), Schaffhouse est bien Suisse. Mais par son point géographique, le canton est entouré de l’Allemagne et est un peu une image des régions allemandes et des villes et village du sud allemand. Une visite dans le canton vous démontrera qu’on est bien « chez nous », la signalisation routière, et les enseignes affichées au devant des commerces ou banques, nous assurent que nous sommes bien en Suisse. Si vous êtes venu en train, vous aurez traversé un bout du territoire Allemand et donc franchi une frontière internationale pour aller à Schaffhouse.
Au tournant du siècle, en 1909, Schaffhouse comptait 17'000 habitants (aujourd’hui, environ 35'000 h.). Hier, les rues étaient vides, aujourd’hui on ne voit que le règne de la voiture, comme partout.
 
Retour en 1909 !
Peu, voire pas d’automobiles dans les rues de Schaffhouse. Dès lors, on voyage en train, diligence, en calèche dans la ville ou en tramways. En 1909, le Bureau officiel de renseignements nous rappel que Schaffhouse est excellemment relié au réseau ferroviaire.
 
On atteint :
 
Zurich par train express, via Eglisau en 1 heure, via Winterthur en 1 heure et demie.
Lucerne via Thalweil en 3 heures.
Rigi-Kulm via Thalweil-Zoug-Arth en 4 ½  heures
Milan par le Gothard en 9 heures
Berne via Aarau-Olten en 4 heures
Bâle par la ligne suisse en express via Eglisau en 2 heures ¼, par la ligne badoise via Waldshut en 1 heure ¾.
Genève en 6 heures ½
Davos via Zurich en 7 heures ¼
St. Moritz via Zurich en 8 heures ½
Strasbourg via Schwarzwald en 4 heures, via Bâle en 5 heures ¼
Paris via Eglisau-Bâle en 9 heures
Cologne via Schwarzwald en 10 heures, via Bâle en 9 heures ¾
Francfort via Schwarzwald en 7 heures ¼, via Bâle en 6 heures ¼
Stuttgart en 4 heures ½
Berlin en 16 heures ½
Constance par express, ligne badoise via Singen, ou ligne suisse via Etzweilen en 1 heure. Par bateau à vapeur en 3 heures.
Munich via Radolfzell-Lindau en 7 heures ½
Feldkirch (Arlberg, Innsbruck, Vienne) via Radolfzell-Lindau en 5 heures.
 
Tramways électriques : Schaffouse (gare) Neuhausen (toutes les 10 minutes) 20 cts. ; Obertor-Breite (toutes les 10 minutes) 10 cts.
 
Schaffhouse (gare) – Schleitheim-Stühlingen 7 trains par jour dans les deux sens. Durée du trajet 1 heure, billets aux guichets de la gare.
 
Bateaux à vapeur : Rhin-Untersee-Constance 3 fois par jour aller et retour.
 
Service postal : Les bureaux sont ouverts de 7 heures du matin à 8 heures du soir. Les dimanches seulement de 9 heures ½ à 11 heures ½. La boîte aux lettres de la gare est levée 5 minutes avant le départ de train-poste.
 
Fiacres à la gare et sur les quais du Rhin. Tarif affiché dans chaque voiture.
 
Portefaix à la gare et au débarcadère.
 
Bains publics : Entrée 20 cts. Heures d’ouverture affichées dans les hôtels.
 
Distractions et Amusements.
Concerts de l’orchestre de la ville, et de la « Stadtmusik » dans différents locaux, pendant la saison, en plein air et sur le Munot. Concerts d’orgue à la St. Johann-Kirche ; en hiver concerts d’abonnement, musique de chambre, concerts de sociétés, théâtre, et pendant la saison, tous les soirs illumination de la chute. Les journaux locaux renseignent très exactement.
 
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vue de l'ouest
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vue d'ensemble
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la maison du Chevalier, plus célèbre façade du XVIe sièvle, oeuvre de Tobias Stimmer.
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place de la cathédrale
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"Erker" du Boeuf rouge
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Abbaye des forgerons
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