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24 décembre 2017 7 24 /12 /décembre /2017 16:58

L’article précédent et celui d’aujourd’hui, sont mes petits cadeaux de Noël. Relaxant, avec un peu d’humour, rien de profond, si l’on excepte la question très sérieuse sur la plaque de chocolat, qui demande une réponse, si vous en connaissez la réponse, laissez un commentaire. Merci.

Pour ma part de recherches, j’ai tapé dans le moteur de recherche, sous images : plaque, toutes sortes d’images de plaques, minéralogiques, de cuisinières, d’enseignes de médecins, etc. une seule image de « plaques de chocolat » est apparue. J’ai ouvert le site et vite vu qu’il s’agissait d’un site consacré à la cuisine. Et « Plaque en chocolat » est donc écrit en toutes lettres. Cela signifie qu’en France aussi, on peut se faire comprendre en disant : SVP, donnez-moi une plaque de chocolat !

Regardez, c’est ici.

Dans le même genre que le site donné hier pour illustrer mes propos, voici un autre site fait par un Suisse qui vit en France. L’humour est la principale raison de passer sur de tel site. Osons se moquer de nous et parfois des Français. Y’a pas le feu au lac !

Joyeux Noël 2017 à tous.  

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23 décembre 2017 6 23 /12 /décembre /2017 19:57

Oui, en cherchant les différences on les trouve, je veux parler des différences de langage ou de sens d’un mot, entre la Romandie et la France.

Nous avons notre parler et ce n’est  pas toujours très académique, car nous avons été sous influences. D’abord, sous l’influence du monde germanique, l’Empire, avant d’être sous l’influence de la Savoie et de la France pour finir. La Romandie a encore les particularités cantonales, profondes dues aux patois locaux. Sans remonter à l’antiquité, aux racines de nos langues, je me suis dit que, puisque nous parlons le français ici, cherchons les mots et expressions qui nous différencient de nos voisins les Français.

Qui cherche trouve !

Il y a des mots typiquement « Suisse » qui ont été adoptés par la France et même par le reste du monde, par exemple : Putsch, d’origine suisse allemande, comme le bivouac, qui a été propagé par les mercenaires suisses lors des guerres napoléoniennes.

Mais pourquoi en Romandie nous achetons des plaques de chocolats au lieu de tablettes de chocolats ?

Qui cherche trouve !

La réponse est difficile à trouver. Ce qui m’a amené dans les labyrinthes de l’Internet et par un heureux hasard, j’ai trouvé un site particulièrement intéressant sur nos différences. Je n’oublie pas de faire remarquer, que parfois nous sommes avec le reste du monde à nous interroger sur le pourquoi en France l’on compte et énonce les chiffres à leurs façons. Sauf qu’il y a un lieu en France ou l’on dit, septante, huitante et nonante, comme chez nous, dans les communications militaires et ceci depuis l’introduction de la TSF pour qu’il n’y ait pas de confusions possibles.

Je vous recommande de visité le travail personnel d’un internaute, justement sur les différences entre Romands et Français. ICI

GTell

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30 septembre 2017 6 30 /09 /septembre /2017 18:31

Vallée de Conche, au fond du canton du Valais, point où commence le Valais, là-haut près des sommets. Sauvage et pourtant touristique, avec les chemins de randonnées balisés, la visite est recommandée.

 

Les aroles, aux limites des pâturages et des glaces, sont des solitaires dans le paysage. Dans certaines vallées du canton, des aroles millénaires sont en majesté photographiés par les randonneurs.

En 2000, un de ces vénérables aroles de la vallée de Conche, par ailleurs rares dans cette vallée, par l’orage et foudre, est retrouvé à terre, déchiré et mort.

 

De nombreuses personnes réunies autour du majestueux arole brisé, ont sectionné le tronc en grosses rondels pour étudier son âge et indiquer aux savants, les années plus froides qu’habituelles, ou les malheurs qu’il a pu, au cours du temps, subir.

Sa naissance remonte à 1515. Voilà une année connue de tous !

Photo prise dans un centre commercial avec un téléphone.

Photo prise dans un centre commercial avec un téléphone.

485 ans de vie, pauvre arole, lui qui pouvait espérer le double, bien enraciné qu’il était. Des générations d’humains l’ont regardé et peut-être touché. Ce qui est certain, ce sont les Cassenoix moucheté, qui de ses graines s’en sont nourri, eux les jardiniers des Alpes, qui assurent la pérennité de l’espèce de pin admirable que l’on nomme Arole.

 

En savoir plus.

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15 septembre 2017 5 15 /09 /septembre /2017 16:33

 

Pas très Suisse, pas chez-nous, pas même en Europe,… alors de quelle curiosité s’agit-il qui est pourtant avec quelque relation avec la Suisse ?

 

Un sanctuaire, dédiée à une Déesse, qui chez-nous serait peut-être mal vu.

 

La Déesse Chao Mae Thabthim, destinée à la fertilité, est Thaïlandaise. Comment les adeptes du culte montrent-ils leur dévotion à la Déesse ? En déposant au temple, des phallus de toutes les tailles, mais globalement teints en rouge. Le parc où se situe le Temple est clame et accueillant. La limite entre le parc du Temple et le parc de l’Hôtel Swissotel Nailert Park est indistincte. Et, parait-il, pour découvrir le Temple, mieux vaut s’adresser au concierge de l’hôtel pour le visiter.

Une curiosité

 

Il est bien entendu que l’hôtel ne fait pas de publicité pour cette curiosité.

 

Voici deux liens qui en parlent, avec des photos. ICI et ICI

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29 juin 2017 4 29 /06 /juin /2017 16:06

Quand Calvin enflammait l’Europe.

Extrait tiré de : VINGT SIÈCLES A GENÈVE, par Edmond Privat, Imprimerie de l’USC, Bâle, 1963

 

Où la devise genevoise est exportée au pays des Peaux-Rouges

Au dix-septième siècle, on voit le système genevois gagner des ailes et passer l’Océan.

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Après chaque révolution d’idées, l’Europe subit la terreur des résistants épouvantés. Les bûchers flambent longtemps après la Réformation. Sous Marie-la-Sanglante, les réfugiés anglais s’assemblaient à Genève, où leur chef était John Knox.

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Ces hommes de foi n’aimaient pas les compromis. Quand Elisabeth établit l’Eglise anglicane avec un fond protestant sous des formes catholiques, ils s’indignèrent et Thomas Cartwright, destitué à Cambridge, vient remplacer Théodore de Bèze à la chaire de Calvin.

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C’est de leur école, et de leur élève Browne, qu’est issue l’idée de la démocratie religieuse, la « congrégation » sans évêque, une communauté souveraine à la lumière de la Bible.

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En 1620, en plein hiver, un petit navire jette l’ancre au cap Cod. (A 80 kilomètres au sud du futur Boston.) C’est le 21 décembre et le bateau s’appelle Fleur-de-Mai.

La centaine d’hommes et de femmes transies, qui débarquent sur la terre inconnue, fuyaient l’Europe étouffante où il fallait, pour vivre, mentir à sa foi. Comme on les comprend !

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Les pèlerins du Mayflower étaient des Brownistes, réfugiés en Hollande. À Londres, un fils de Marie Stuart succédait à la reine Elisabeth et voulait forcer tout le monde à se conformer à l’ordre anglican. Impatienté déjà par les Presbytériens d’Edimbourg, Jacques Ier tolérait mal ces dissidents qui parlaient du nez, sur un ton prêcheur ou qui restaient couverts en présence du roi :

« Nous harcèlerons et chasserons du Royaume tous les non-conformistes. »

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Pour un roi qui croyait au droit divin de la monarchie, tous ces discuteurs sentaient Genève et la République. Sous Cromwell et les Puritains, son fils Charles allait perdre en 1649 et son trône et la tête.

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Exilés à Leyde, les réfugiés ne veulent pas se faire Hollandais. Ils préfèrent élever leurs enfants dans la culture anglaise et fonder quelque part leur Nouvelle Angleterre.

Le pilote du Mayflower devait les mener en Virginie. Il se trompe et les débarque au nord en pleine solitude. Il faut tout inventer, tout créer, tout bâtir, par un hiver plus froid que jamais.

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Pendant ce long voyage, ils avaient décidé que leur colonie serait démocratique, une sœur de la République genevoise dont ils prennent la devise : Post Tenebras Lux.

 

Assemblés sur le pont du navire, ils rédigent une constitution et chacun, à son tour, vient la signer sur le parchemin : « Au nom de Dieu Amen… Nous nous unissons mutuellement par le présent contrat solennel devant Dieu, et en présence les uns des autres, en un corps civil et politique pour le bon ordre et le salut commun et la poursuite des fins susdites et, en vertu de ce pacte, pour élaborer, décréter, établir telles lois justes et égales… qu’il sera jugé opportun et convenable pour le bien général de la colonie. »

Quand l’Amérique se faisait.

Le texte et la scène sont gravés sur le mur des Bastions, mais plus profondément encore dans la mémoire des écoliers d’Amérique, où les enfants l’apprennent par cœur. Pour en parler, l’historien national devient lyrique :

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« A cette heure », écrit Bancroft, « naquit la liberté garantie par une constitution populaire… Sur le pont du Mayflower l’humanité a recouvré ses droits et institué le gouvernement sur la base de lois égales, établies par tous pour le bien général. »

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La légende ici prend des ailes, mais ce qu’il y a de certain, c’est qu’on en retrouve les accents dans la Déclaration d’indépendance et même dans la Déclaration des droits de l’homme à travers Franklin et Jean-Jacques Rousseau.

En 1630, deux mille Puritains anglais s’embarquent pour Boston. Ils fondent la colonie de Massachusetts, à l’abri des persécutions. Mais leur idée n’est pas encore la tolérance envers tous. Ils ont leur système et leur dogme, une théocratie fermée, à la genevoise, où l’Eglise et l’Etat se contrôlent, où le citoyen vote également pour le pasteur et le magistrat.

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Comme désormais les navires apportent chaque année une nouvelle masse de colons, les premiers arrivés serrent les rangs. L’électeur devient aristocrate, comme à Genève les premières familles.

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Les esprits libéraux protestent et s’en vont plus loin fonder d’autres colonies, plus ouvertes et plus vraiment démocratiques. C’est le Connecticut, avec la séparation de l’Eglise et du Gouvernement. C’est Rhode Island, avec le suffrage au bulletin secret, la tolérance religieuse et l’égalité des citoyens dans la liberté d’opinions.

Roger Williams, un pasteur qui fonde la ville de Providence, proclame le droit de chaque homme « à marcher comme sa conscience le guide ». Tous les serments obligatoires développent l’hypocrisie. Le pays n’appartient pas à tel ou tel, mais aux Indiens, avec lesquels il est chrétien de s’entendre. Williams parle comme les Quakers, amis des hommes et trouvant Dieu dans la bonté d’âme. Avec Penn, ils fonderont plus tard la Pennsylvanie et lutteront pour abolir l’esclavage des Noirs.

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La tolérance est aussi la base du Maryland, où Lord Baltimore fonde un refuge pour les catholiques en 1632. Les protestants y gagnent vite la majorité, mais la liberté religieuse est maintenue par l’Assemblée de la colonie.

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Désormais l’Amérique est vraiment un nouveau monde, car, en Europe, on continue à s’exclure mutuellement à chaque victoire d’un parti sur l’autre, et Genève en reste là.

Son Académie est illustre. Elle attire les jeunes princes d’Allemagne et compte plusieurs des grands noms d’Europe, les Spanheim, les Turrettini, les Diodati. C’est chez le fameux professeur de ce nom que le poète anglais Milton s’arrête à Genève en 1639.

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Mais les conseils et la Compagnie des pasteurs imposent aux candidats un serment d’orthodoxie.

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A Dordrecht, où siège un grand synode international des réformés d’Europe, les délégués de Genève insistent pour l’exclusion des esprits libéraux. En vain Tronchin et Mestrezat élèvent-ils timidement leur voix à Genève pour protester contre l’intolérance. Il faut attendre à la fin du siècle un philosophe comme Chouet pour enseigner Descartes et préparer la route au libre examen.

[Voilà comment Genève a influencé le Nouveau Monde et ce n’est pas la meilleure chose qui soit arrivé en Amérique.]

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18 juin 2017 7 18 /06 /juin /2017 16:57

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Bien qu’il soit mort depuis 1974, Samuel Goldwyn me fait toujours rire. Rien avoir avec la Suisse, mais c’est plus pour sourire que je vous propose des citations de ce grand homme du cinéma Hollywoodien.

1879 - 1974

1879 - 1974

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Des citations que l’on nomme des « Goldwynisme », ce sont ses origines polonaises et ses lacunes en anglais qui faisaient que cela était drôle. L’homme est celui du célèbre Léo, le lion de la Métro-Goldwyn-Mayer.

 

Ça lui venait naturellement, c’était sa pensée et non une construction intellectuelle, c’était ce qu’il voulait dire au moment qu’il le disait. Ça devait être un personnage haut en couleurs et bien écouté de ces interlocuteurs pour que ceux-ci enregistrent ces propos et les restituèrent, tels qu’ils les avaient entendus.

Exemples :

 

« Un accord verbal ne vaut même pas le papier sur lequel il est écrit. »

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« Il n’est pas indispensable d’être fou pour faire du cinéma. Mais ça aide beaucoup. »

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« Tous ceux à qui vient l’idée de consulter un psychiatre devraient subir un examen mental. »

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« Télévision couleur ! Bah, je ne vais pas y croire jusqu’à ce que je voie en noir et blanc. »

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« La raison pour laquelle tant de personnes sont venues à son enterrement est qu’ils voulaient s’assurer qu’il était mort. »

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 « Si je parais confus, c’est parce que je pense. »

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« Je prendrai cinquante pour cent d’efficacité pour avoir cent pour cent de loyauté. »

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« Donnez-moi un idiot intelligent au lieu d’un génie stupide à n’importe quel moment. »

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« Si Roosevelt était vivant aujourd’hui, il se retournerait dans sa tombe. »

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« On ne doit pas se moquer de nos comédies. »

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« La vie d’un célibataire n’est pas une vie pour un homme non marié. »

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« Je suis prêt à admettre que je pourrais n’avoir pas toujours raison, mais je n’ai jamais tort. »

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« Je ne pense pas que les gens devraient écrire leur autobiographie qu’après leur mort. »

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« Ne vous inquiétez pas à propos de la guerre. C’est terminé, à part les fusillades. »

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« Ne faites pas attention aux critiques – ne les ignorez pas non plus. »

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« La scène est fade. Dites-lui de mettre plus de vie dans sa mort. »

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« J’ai lu l’une des parties jusqu’à la fin. »

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« Si je pouvais mourir maintenant, je serais l’homme vivant le plus heureux. »

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« Je veux que chacun me dise la vérité, même si cela lui coûte son emploi. »

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« La danse moderne est démodée. »

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« J’ai quitté la maison à 15 ans car Hollywood n’est pas le meilleur endroit pour grandir. »

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« C’est plus que magnifique – c’est médiocre. »

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« Voilà le type de publicité que j’aime : des faits, des faits, des faits. »

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31 mai 2017 3 31 /05 /mai /2017 17:01

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Chez nous et ailleurs, ceux qui utilisent ces mots, parlent le bon français. Puisque nous comptons en base dix, il faut dire, dix, vingt, trente, quarante, cinquante, soixante, septante, huitante et nonante. La forme Mixte des Français de France, qui dit, soixante-dix, quatre-vingt et quatre-vingt-dix, alors qu’ils avaient bien commencé, ils finissent par nous embrouiller les oreilles.

Septante, huitante et nonante.

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De nombreux sites Internet nous en parlent, avec, même des français qui demandent à compter comme nous.

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Le site SWISSINFO.CH a publié un très bon article sur le sujet que je vous invite à lire : ICI

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8 mai 2017 1 08 /05 /mai /2017 17:26

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C’est en voulant nettoyer une valve d’un briquet rechargeable, qu’est apparu la nécessité d’utiliser une pointe fine, tel qu’une aiguille. Dans mon nécessaire de couture, le premier objet qui pouvait m’être utile, était une épingle de sureté ou épingle de nourrice.

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Je nettoyais donc la valve de remplissage du briquet, facile, que me vint en mémoire l’appellation que ma maman utilisait pour désigner l’épingle de sureté : « imperdable ».

 

Curieux, j’allais sur mon ordinateur et dans le moteur de recherches, regardais la définition d’imperdable en général. Qui ne se perd pas. Définition logique, mais il y avait un lien Wikipédia qui apparemment parlait de l’épingle de sécurité.

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Je lis : Une épingle de sûreté ou épingle à nourrice ou épingle de nourrice1 ou imperdable2,3 (en Suisse romande) est un petit objet utilisé pour attacher ensemble des pièces de tissu d'une manière rapide et temporaire.

Imperdable

Imperdable

Ma maman avait donc le mot juste !

 

GTell

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19 avril 2017 3 19 /04 /avril /2017 17:52

Mardi 18 avril 2015, l’OFC et l’OFS ont présentés les chiffres de fréquentation de nos musées. Si vous avez, comme moi, écouté d’une oreille distraite, vous aurez certainement entendu que la fréquentation des musées est supérieure à celle des cinémas.

 

C’est bon à savoir. Et, pour en savoir plus, sans passer par les rébarbatifs documents officiels de l’Administration, je vous propose plus simplement l’article du journal 24 Heures, qui dans un article simple et claire, un bon résumé. C’est ici.

L’un de ces musées qui propose des curiosités, avec une part d’histoire vraie, une part d’imaginaire, le tout dans un cadre fidèle à la pensée de la personne qui en était le concepteur. En effet, Adrian Malcolm Conan Doyle, le plus jeune fils de Sir Arthur Conan Doyle, s’installa au château de Lucens en 1951. Dans ce château, il créa un musée, à la gloire du célèbre Sherlock Holmes et à la mémoire de son père.

Adrian et son père

Adrian et son père

Le temps faisant son effet, sur toutes choses, le musée devint poussiéreux et encombrant, pour certains propriétaires. Donc, du château, le musée se déplaça de quelques mètres, pour la Maison Rouge. Le site Internet du musée, c’est ici. Sur le site du musée, vous pouvez écouter une émission d’Espace 2, Le mythe Sherlock Holmes, avec de nombreux intervenants qui nous parlent du grand détective. L’écoute est préférable pour certaines personnes qui n’aiment pas forcément lire les longs textes des liens données ici. Cependant, il faut savoir que l’émission en question dure 2 heures.

Sherlock Holmes

Sherlock Holmes

Toujours actuel de nos jours, Sherlock Holmes, est tellement présent, qu’il est connu de presque tous. Sa biographie est ici, du moins celles que l’on peut lire chez Wikipédia.

Quelques mots sur Sir Arthur Conan Doyle

Sir Arthur Conan Doyle

Sir Arthur Conan Doyle

Quelques mots sur Adrian Conan Doyle

Si vous n’aimez pas Sherlock Holmes, que vous n’aimez que les dinosaures, alors, sachez que Le Monde perdu : Jurassic Park de Spielberg est inspiré du livre de Michael Crichton, Le Monde perdu, lui-même inspiré du roman, Le Monde perdu de Conan Doyle, publié en 1912.

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29 mars 2017 3 29 /03 /mars /2017 17:14

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…ou avez-vous un jour parlé vaudois ?

Imprégné d’une intention légèrement péjorative, le manoillon est un ouvrier non spécialisé, que l’on appelait autrefois le manœuvre. On utilise également l’expression pour quelqu’un qui n’est pas très habile de ses mains : « Il a fait ce nœud comme un manoillon ».

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Si l’on veut parler de chute, c’est de la déguillée qu’il s’agit, mot issu de déguiller qui veut dire tomber ou faire tomber. Populairement, une déguillée peut également qualifier un état d’ivresse en cours d’exécution.

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« Il est tard, c’est le moment d’aller se réduire ». Dans le grand monde, l’on dirait en toute simplicité : « Nous sommes las. Souffrez que l’on se retire ». Que c’est bien dit ! Mais ça nécessite le petit doigt sur la couture et la colonne vertébrale toute raide !

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« Madame, il y a Jules qui m’a flanqué une claque ». Celui qui a ainsi interpellé son institutrice est un redzipet, un rapporteur. Il n’y a pas besoin d’être écolier pour redzipéter, puisque la définition de ce mot s’étend jusqu’à redire à d’autres ce que l’on a entendu, répéter des propos et des indiscrétions. Non ! On redzipète aussi au Café du Commerce !

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