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21 février 2017 2 21 /02 /février /2017 18:16

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On a voté et le monde économique du pays est mécontent. Ils cherchent maintenant les raisons du vote et son résultat négatif, pour savoir qui a mal fait son job de lobbyiste, etc.

Avez-vous lu la brochure explicative de la Confédération ? Si vous avez tout compris vous êtes un économiste ou un « geek » des finances. Pour ma part, je n’ai pas compris grand-chose et quand je ne comprends pas une loi, je vote contre. Il faut croire que beaucoup sont comme moi et nous avons étés majoritaire dans ce cas.

En gros, il s’agissait donc d’augmenter le taux d’imposition des entreprises étrangères établies en Suisse et de compenser de certaines façons ces mêmes entreprises avec des niches fiscales spéciales.

Du moins c’est ce que je crois. Surtout en lisant les arguments du comité référendaire qui lui était claire. Et puis en suivant la politique Française actuellement avec toutes les combines et magouilles qui nous sont déballés à longueur de journaux télévisé, on comprend de mieux en mieux les privilèges qui s’appliquent partout au sommet des démocraties.

Pour quelles raisons devrions-nous nous laisser tondre ? La révolte devait arriver, elle a eu lieu démocratiquement dans les urnes du vote du 12 février 2017.

Ça complique un peu nos relations avec la Communauté européen, puisqu’il s’agissait de satisfaire des directives européennes sur la fiscalité des entreprises.

Les politiques de Berne trouveront les solutions sans que le peuple soit pigeonné comme il semblait qu’il devait l’être avec la RIE III. Ils ont encore deux ou trois ans pour cela.

La prochaine mouture devra être sans ambigüités aucunes, sinon la loi ne passera pas. Pour cela, ils (les gouvernants) devront nous cacher le fait que nous allons (quand même) nous faire pigeonner.

GTell

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