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13 février 2018 2 13 /02 /février /2018 17:40

Lundi (12.02.2018) au Palais fédéral, une salle a été baptisée « Carl Lutz ». Il était temps qu’au cœur du Palais, on rende hommage à celui qui est « Juste parmi les nations » depuis 1964.

Je vous en ai déjà parlé de ce grand homme de paix, http://gtell.over-blog.org/page/42

Et comme toujours, vous avez des informations sur Wikipédia, https://fr.wikipedia.org/wiki/Carl_Lutz

GTell

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10 janvier 2018 3 10 /01 /janvier /2018 16:52

Connaissez-vous le fonctionnement de notre Conseil fédéral ?

Hop Suisse !

Pas facile de l’expliquer à un étranger, ni même à un compatriote. C’est pourquoi sur la page www.admin.ch l’on trouve « Le Conseil fédéral en bref », 20 vidéos, mais en fait, quatre vidéos dans les quatre langues nationales et l’anglais.

 

Aucune des vidéos ne dépassent 2 minutes.

Rafraichissez-vous la mémoire ou apprenez comment fonctionne nos plus hautes autorités du pays.

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17 août 2017 4 17 /08 /août /2017 15:59

La première fois que l’on a lu ce slogan de Ben, c’était en 1992 lors de l’Exposition universelle de Séville.

La Suisse n’existe pas…

 

La polémique était lancée !

 

La socialiste Ada Marra, relance la polémique lors du 1er Août : La Suisse n’existe pas…

Ce n’est pas faux, de le dire, ce n’est pas forcément juste. Surtout après avoir lu un article du Matin Dimanche qui interroge Ben sur le sujet.

 

Voici ce que dit Ben à la question : « La Suisse n’est donc pas un pays comme les autres ? »

 

Ben : « La Suisse Romande existe. La Suisse Allemande existe. La Suisse Italienne existe. La Suisse Romanche existe. Mais la Suisse ? La langue suisse n’existe pas. A la rigueur, je dirais que la Suisse est romanche, parce qu’il n’y a que les Romanches à qu’il manque un Etat nation. Ils ne sont ni Italiens, ni Allemands, ni Français. Il y a une langue romanche qui est à eux et qui est malheureusement opprimée. »

 

Cette réflexion est juste et cependant fausse pour ceux qui pensent que la Suisse existe. Quelle est-elle ?

Selon Ada Marra, notre Suisse est personnelle, pourquoi pas, ce n’est pas faux. Tous possèdent un coin du pays, là où l’on est né, là où l’on est devenu « suisse ».

 

La langue ne détermine donc pas l’identité de la Suisse, puisque MA Suisse est française.

Importe peu que l’on ne parle pas l’une des langues nationales une fois que l’on est devenu citoyen du pays. Pas comme pour certain pays, où il faut impérativement parler la langue du pays pour être de ce pays.

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2 juin 2017 5 02 /06 /juin /2017 17:23

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Tous menteurs ou est-ce les politiques ou les journalistes.

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La question est posée.

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Voici ce que je pouvais lire dans un journal du matin, qui nous relatait ce qui ce passe aux Chambres fédérales.

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« Les Chambres fédérales ont dû avaliser la perte de 215 millions de cautionnement pour la marine marchande helvétique qui date de la guerre froide. Un bouillon que personne n’a vu venir. Christian Levrat PS/FR a résumé : « Nous avons le choix entre dire oui ou oui et c’est une alternative qui ne réjouit pas un politicien. » Cette caution représente environ 55 francs pour chaque ménage helvétique. »

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Curieux et comme j’aime bien les bateaux, je me suis penché sur ce qui est dit.

Qui croire ?

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Première chose, je cherche la confirmation des chiffres annoncés. Les 215 millions c’est ok, les 55 francs pour chaque ménage, nécessite de savoir combien de ménage sont dénombrés par l’Administration fédérale. J’ai trouvé la page « Ménages » de l’Office fédéral de la statistique, qui donne le chiffre suivant : 3'631.4 en milliers, ce qui donne donc 3'631.400 ménages.

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Après division de 215 millions par 3'634.400 ménages, j’obtiens le total suivant : 59,20 et non 55 environ.

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Alors où est l’erreur ? Et pourquoi faut-il que ce soit seulement les ménages qui paient ?

 

Pourquoi n’est-ce pas la population « entière » qui paierait ?

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Sur la même page de l’Office fédéral de la statistique, sous « Population », m’apprend que nous sommes 8'417.7 en milliers, soit 8'417.700 personnes.

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Si l’on reprend les 215'000.000 de francs divisé par la population, cela donne : 25.54 francs par personne !

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Est-ce que je vous ai bien informés ?

 

Soyons vigilant !

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18 mai 2017 4 18 /05 /mai /2017 15:57

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Loin d’être la juste solution, puisqu'une fois à gauche, une fois à droite, le pays est dans une balance à mouvement alternatif.

La fin du bipartisme à la française ?

Le déséquilibre est possible, toujours à gauche ou toujours à droite, pendant de longues décennies. On dit que la France est de droite, alors que si la gauche arrive au pouvoir, c’est juste pour un temps, non définitivement ou pour un long temps. La liste des gouvernements de la cinquième République est majoritairement de droite.

Aujourd’hui, un président qui n’est pas de gauche, il l’a dit, forme un gouvernement qui est un mélange entre gauche, centre et droite. Révolution dans les esprits des français qui ne savent pas faire de compromis, soit l’on est de gauche, soit l’on est de droite, mais pas des deux, impossible.

On débat sur les plateaux de télévision de ces nouveautés et des personnalités qui forment le nouveau Gouvernement. Les Législatives au mois de juin, fera pencher la balance d’un côté ou de l’autre, sans qu’une majorité gouvernementale centriste ne s’organise d’elle-même. Il y aura lutte et probablement de grandes batailles sur le terrain national, avant l’apaisement souhaitable pour gouverner.

Les compromis devront être présent dans la parole de ceux qui veulent la réussite du président, et même chez certains adversaires de celui-ci, pour un apaisement général et pour que la France redémarre sur une base solide. Les journalistes devront apprendre que ce n’est pas déshonorable, de dire « compromis ».

La critique est facile dans le système du bipartisme, si le pouvoir est à droite, ceux de gauche crieront fort pour critiquer et inversement, quand la gauche est au pouvoir. Mais les compétences sont partout, autant à gauche qu’à droite, alors mélangeons, cherchons ces compétences et gouvernons, c’est ce qui arrive aujourd’hui avec le nouveau président. Une chance pour la France, d’entrer dans une social-démocratie, qui engendre les réformes nécessaires au succès.

À suivre attentivement les Législatives, qui va montrer si les Français osent suivre leur président dans le changement en abandonnant un peu, le bipartisme monolithique. Sinon, le gouvernement d’Édouard Philippe devra être remanié très vite, probablement pour la rentrée de septembre. L’été sera chaud. 

GTell

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10 avril 2016 7 10 /04 /avril /2016 15:03

RBI

RBI

Les luttes verbales ont commencées et c’est toujours particulier de voir des initiant un peu timides et ne voulant pas montrer une facette d’eux qui choquerait le public, être confronté à des personnalités, des ténors et grands orateurs et bien sûr opposants à l’idée révolutionnaire du moment, le RBI. A « Infrarouge » le débat me semblait faussé, déséquilibré.

D’ailleurs, l’émission « Infrarouge » n’a été que démolition et poudre aux yeux des « personnalités de la finance et des partis de droite » face à des initiants de gauches et verts, pratiquement inconnus du public.

Jamais les bonnes questions n’ont été posées, ni les arguments des initiant non bousculés le flot de paroles capitalistes.

Dommage, mais même en imaginant la loi acceptée et en place, que pouvons-nous faire avec 2'500 francs ? Une personne seule, dans une ville, mille francs passent pour se loger, presque autant pour la nourriture et le reste pour les assurances qui feront tout pour que cette personne donne son solde. Rien, plus rien en poche pour une sortie cinéma, pour un restaurant avec une amie et ne parlons pas d’envisager de posséder une auto.

Un couple sans enfants, deux fois 2'500 francs font bien 5'000 francs de revenus et même problème que pour le célibataire, les capitaux seront grignotés de la même façon, « puisque ils peuvent payer, prenons le maximum ! », diront les assureurs, le bailleur et tous ceux qui auront besoin de ponctionner le couple.

Ajoutons un enfant, celui-ci n’aura pas 2'500 francs, mais quelques centaines de francs s’ajouteront à la somme touchée des parents. Ce n’est pas encore déterminé. Peut-être auront-ils assez pour acheter une voiture et dans ces conditions, le budget sera toujours serré et limite.

Et n’oublions jamais, un revenu = impôts !

Les opposants, disent : « Mais comment financerez-vous le RBI ? ». C’est certain, les riches n’aiment pas qu’on leur prenne une fraction de leur fortune et quelle fraction, puisque l’on parle de 2‰ sur le montant total du trafic des paiements en Suisse. Et ce n’est pas vous et moi, qui sommes concerné par ces 2‰, non, ce sont les banques, les assurances, les cabinets d’affaires et autres grands industriels et multinationales qui sont concernés.

N’oublions pas que sans le peuple, les « grands riches » n’auraient pas tant d’argent.

Faites-vous une opinion en lisant l’interview d’Oswald Sigg, vice-chancelier de la Confédération et porte-parole du Conseil fédéral. (Un des initiant du RBI.)

Suivez le RBI

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15 mars 2016 2 15 /03 /mars /2016 18:13

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Je donne l’impression de vous obliger à lire et à vous former une opinion sur deux sujets d’actualité nationale, alors que vous ne le souhaitez peut-être pas.

Quelque que soit le résultat dans le temps que prendront ces deux sujets, ils entreront dans les annales de l’histoire, comme le sont déjà la disparition de Swissair et le sauvetage de l’UBS. Il y a des actes politiques sans trop de portée historique qui sont proposés aux votes, et parfois, un acte politique audacieux attire les regards de nos voisins, ces grands pays qui nous entourent et observent l’entreprenante petite Suisse qui ose ! Actuellement, nous sommes sous observation, qu’allons-nous faire ?

Dans une chronique tenue par quelque moine d’une obscure Abbaye du Moyen-âge, il serait écrit : « En cette journée de fin d’hiver, en place public à Zurich, une distribution de billets de dix francs a été organisée par les initiants du futur RBI, le 14 mars 2016 », 500 ans plus tard, on lirait la chronique en s’interrogeant, « C’est quoi le RBI, et pourquoi une telle distribution de papier ? »

Aujourd’hui, dans nos journaux

C'était le 14 mars 2016

C'était le 14 mars 2016

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14 mars 2016 1 14 /03 /mars /2016 16:41

Je vous tiens informé sur les deux sujets qui font l’actualité et qui intéressent obligatoirement ceux qui vivent en Suisse.

Après avoir lu, je l’espère, les articles conseillés précédemment, par exemple l’opinion de l’économiste Sergio Rossi sur le RBI ou vous êtes allés sur le site des initiant et sur la problématique des difficultés d’Alpiq, vous savez tout maintenant.

Voici ce que mon journal publie aujourd’hui.

Sources ATS

Sources ATS

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13 mars 2016 7 13 /03 /mars /2016 17:39

Soyons vigilent !

Alpiq

Nous, vous et moi, si vous n’êtes pas industriel, payons le prix fort d’électricité. Nous sommes les clients captifs, oui, oui, CAPTIFS et nous ne payons pas le prix du marché électrique, mais bien un prix plus élevé, bien Suisse ! [Comme toujours]

Le prix du marché pour le KW/h est si bas sur le marché européen que ça met la société Alpiq en difficulté à tel point qu’elle cherche à vendre ses bijoux de familles, que nous avons, d’une façon ou d’une autre, payé à travers des taxes, impôts et prix de notre électricité consommé.

Avant que l’on nous oblige à ouvrir le marché suisse au reste de l’Europe, nous étions bien tranquille, les fournisseurs fournissaient, les acheteurs achetaient, tout cela au prix de chez nous sans possibilité pour le client envieux d’aller acheter à l’étranger à un prix bien plus bas. Et globalement, nous étions fières de nos barrages et de tout ce qui tournaient autour de la Fée électricité. Aujourd’hui c’est une autre chanson, après nous avoir fait miroiter les prix bas pour tous, nous avons accepté l’ouverture aux marchés européens. Dans un premier temps, bien sûr, seuls les gros consommateurs bénéficiaient de cet avantage avec la promesse pour tous, mais plus tard, bien plus tard la chute promise des prix. Résultat, pour le peuple et les petites entreprises, c’est toujours un prix plus élevé et on constate que la situation ces jours n’est pas bon pour Alpiq qui risque la faillite. Alpiq produit trop cher, par rapport au reste de l’Europe, à tel point que cela devient impossible et les pertes prévues pour chaque année est de 800 millions de francs.

Mais qui veut acheter des barrages et une centrale nucléaire vieillissante ?

Doit-on sauver une société privée avec nos impôts ?

Nous devons être attentif à ce qu’il va advenir de la société Alpiq et des outils de production, de qui va acheter nos barrages et à quel moment le peuple et les PME bénéficierons des prix annoncés depuis longtemps. Nous ne voulons pas encore payer le rachat de ce qui nous appartient déjà en partie. En espérant que le politique ne fonce pas dans l’absurdité d’un sauvetage d’une entreprise qui s’est grassement rempli les poches, avec son conseil d’administration, sans nous faire bénéficier de rien.

Et sachez que les barrages et l’usine nucléaire avec ses déchets futur et les dettes d’Alpiq ne peuvent partir de Suisse ; donc les barrages resteront ici, les déchets nucléaires aussi et si nous nous précipitons pour sauver Alpique, les dettes resteront elles aussi en Suisse.

Si nous laissons la faillite arriver pour Alpiq, nous aurons toujours les déchets nucléaires à notre charge.

La presse a beaucoup publié ces jours et ça va continuer. Soyons vigilant et lisez.

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Les pertes d’Alpiq.

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Les risques pour nous…

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Ils veulent nous refiler les centrales nucléaires que nous ne voulons plus.

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12 mars 2016 6 12 /03 /mars /2016 16:50

Kuldesak,

Actualité politique [Important]

1972, roman de Richard Cowper (1926-2002), traduit par Jacques Martinache, Presses de la Cité 1978

A la surface de la Terre, une armée de robots diligents moissonne silencieusement un grain qu'aucun homme ne mangera. Enfouie dans les profondeurs de la planète, l'humanité survit dans un dédale de galeries depuis deux mille ans et ignore l'existence même de l'Extérieur.

Quatrième de couverture

Jusqu'au jour où un jeune Vagabond ose transgresser la Loi qui interdit de s'aventurer dans les Niveaux Perdus. Avec l'aide de trois compagnons et d'un être venu d'ailleurs, il entreprendra de libérer les humains de la tyrannie imposée par de lointains ancêtres et proclamera, face aux machines : « Je suis un homme ! Le monde appartient aux hommes ! »

Critiques

Ecrit avant Les Gardiens (Denoël), voici un roman lisible sans être génial. Surtout quand on en compare la prose à celle des Gardiens, qui était très littéraire. La thématique est classique : un monde souterrain (véritable arche terrestre, chère à Rémi-Maure) qu'un ordinateur/Dieu gère à sa manière. Une tribu de Vagabonds et un révolté. La liberté retrouvée avec la surface de la terre à repeupler. Ce qui est plus original, c'est la description de ce monde interne, en niveaux, et surtout la rencontre avec une civilisation de « plantes », entre quoi les vagabonds servent plus ou moins à poloniser, à leur manière. Mais aussi la visite d'un Extraterrestre au grand cœur. Là, ce qui est curieux, c'est l'utilisation de signes diacritiques pour figurer des mots non humains (sortes de « blancs ») dans notre vocabulaire (des mots sans réfèrent terrien) et ceci même dans le cas de télépathie. Depuis l'Homme Démoli et quelques nouvelles de Platcha, ces possibilités avaient été peu exploitées. Elles permettent des effets curieux de dépaysement. L'impression domine de trois nouvelles qu'on aurait plus ou moins raccordées, avec un fil un peu trop blanc.

nooSFere Encyclopédie littéraire

Voilà, dans ce roman, un monde annoncé si l’on laisse les machines prendre les commandes du destin. Jeune adulte, j’avais beaucoup aimé ce petit roman de 190 pages, à l’époque où les machines robotisées n’étaient qu’au début de leurs tâches.

Aujourd’hui, il est question de donner du travail à tous. Et cela est déjà impossible pour beaucoup de pays et même en Suisse.

On va voter pour l’initiative populaire « Pour un revenu de base inconditionnel », qui permettra à beaucoup de mieux vivre et être mieux considéré aux yeux de ceux qui regardent les chômeurs comme des nuisibles.

Pour vous informer si nécessaire sur la problématique, voici le lien d’un article de l’Hebdo, écrit par Sergio Rossi

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A lire absolument !

Bonne lecture et bonne réflexion.

En complément d’information : Ici sur B.I.E.N-CH

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Le site rbi-oui.ch

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Ce qu’en disent les Français : ICI

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Même Europe 1 en parle avec une erreur criarde Référendum est employé au lieu d’Initiative populaire.

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