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9 avril 2014 3 09 /04 /avril /2014 17:58

 

 

Prochainement ici, Le Langage des Vaudois.

 

GTell

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8 avril 2014 2 08 /04 /avril /2014 15:45

 

 

Égalité

 

 

Comment deux mille trente-six divisé par quatre peut-il égalé à dix?

 

 

2036 : 4 =

 

 

GTell

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7 avril 2014 1 07 /04 /avril /2014 15:57

 

 

Une publicité dans nos quotidiens faite par une maison suisse, spécialisé en électronique et multimédia, m’interpelle. En effet, sur l’article qui peut m’intéresser, je dois passer mon diplôme d’électronicien avant d’acheter ou alors passer un certain temps sur Internet pour déchiffrer le sens réel du descriptif de l’objet mis en vente.

 

À défaut, je peux vous demander ce que cela veut dire : LED-WIFI Smart-TV FHD avec 100 Hz – HD-DVB-T/C avec CI+/EPG/WLAN/DLNA.

 

tv panasonic

 

Laissez vos réponses dans les commentaires, merci.

 

 

GTell,

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5 avril 2014 6 05 /04 /avril /2014 17:26

 

 

Étrange que personne ne laisse un commentaire sur cette photo plutôt saugrenue.

 

En effet, si l’on distingue la Cathédrale au loin, on voit surtout la tour Bel-Air et au premier plan les entrepôts du Flon. Et cette photographie était présente dans un petit livre, « Lausanne, une ville qui a mal tourné », pour illustrer la laideur supposée de la tour Bel-Air, véritable verrue pour certains lausannois dont C.F. Ramuz.

 

Aujourd’hui encore une fois, Lausanne est confrontée à la question, faut-il oui ou non construire une tour à Beaulieu, et les lausannois doivent voter pour connaître la réponse. Dans ce même temps, on distingue les échafaudages sur la tour Bel-Air en rénovation. Aujourd’hui, personne ne voudrait la démolition de la tour Bel-Air, alors même qu’elle a été critiquée par les plus grands intellectuelles au moment du débat, faut-il construire une tour à Lausanne, ceci dans les années trente.

 

La tour qui aujourd’hui attend d’avoir une vie ou non, peut-elle porter en elle autant d’émotion que la Vieille Dame de Bel-Air ? Déjà avec un nom pas de chez nous, la Taoua est insolite par son étrange ressemblance avec Bel-Air, qui fait qu’à quatre-vingt ans de distance, on peut dire que la Taoua et la petite-fille de la Vieille Dame. Regardez bien les deux tours… toutes deux ont une cour intérieure, un corps couché à terre et une tour qui s’élève. L’imagination de nos architectes semble en perdition et plutôt étriquée. Pourquoi ne pas se singulariser et construire une tour audacieuse plutôt qu’une banale tour des années trente ?

 

Rien de remarquable donc, pas de risque que l’on vienne de loin pour photographier un tel bâtiment.

Après réflexion, je pense que nos architectes les plus audacieux sont à l’étranger ou travaillent pour le reste du monde mais pas pour nous, hélas.

 

Bel-Air.jpg

 

Bel-Air

 

Taoua.jpg

Taoua

 

ogive-fenchurchavenue.jpg

Ils ont osé

 

GTell, Internet

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4 avril 2014 5 04 /04 /avril /2014 15:47

 

 

Le pouvoir au peuple, la marche des affaires est le fait du peuple. La limite est vite perçue si l’on imagine que quelques personnes du peuple sont si éloigné des affaires qu’ils ne sont pas sollicités pour donner leur opinion. Ou, quand ils apprennent l’existence d’une loi ou l’élection d’untel, et donc n’étant pas en accord avec ces résultats, ces personnes s’opposent au reste de la population en gesticulant et ainsi ils créent « l’opposition ».

 

Chez les grecs, seul les hommes avaient le privilège politique et un grand nombre, bien plus nombreux que ses hommes-là, n’ont pas un mot à dire, ce sont les femmes, les enfants, les esclaves et les barbares.

 

Alors, le fait d’envoyer une loi avec les explications à la compréhension de cette loi à toutes personnes ayant droit de vote, n’exclue pas que cette forme de démocratie directe peut poser problème. Le peuple n’ayant pas un mot à dire sur l’élaboration d’une loi, ni ne connaitre le ou les besoin(s) d’une telle loi, ne peut en modifier le contenu, lui reste qu’à dire OUI ou NON à la loi. On laisse le soin aux politiques élus, nos représentants, d’élaborer ces lois, ce sont eux qui débattent de la nécessité et du besoin de la loi et en rédigent les articles qui seront soumis à l’ensemble des politiques entre eux et pour finir au peuple. Le pouvoir au peuple semble être compromis.

 

Le citoyen n’ayant jamais participé à la politique locale, cantonale ou fédérale de sa vie, peut un jour lancer un référendum ou une initiative, et ainsi faire sa politique personnelle avec la complicité de quelques milliers de citoyens qui peuvent adhérer. Donc des lois comprises et acceptées peuvent finalement être rejetées par le peuple. Ça été le cas le 9 février 2014 en acceptant de dire OUI à un parti et à ses idées. Mais comme une certaine politique n’est pas du fait du peuple, exemple la politique étrangère, par exemple, il arrive que ce que le Gouvernement avait conclu comme traité ou accords avec l’étranger, soit en conflit avec le peuple, même si le peuple avait donné une ligne de conduite générale aux politiques, ce qui crée un conflit. Qui gagne un conflit impose sa loi, c’est bien connu. On voit que seul les représentants élus, sont à mêmes de connaître tous les termes d’une loi et des implications que cela entrainent. La démocratie directe peut être nuisible.

 

La démocratie directe est plus lisible sur la Commune, pour autant qu’elle ne soit pas trop grande, car dès que le nombre des citoyens est important, moins ceux-ci sont au courant de ce qui est nécessaire ou bon à l’ensemble et nécessite à nouveau des explications que le citoyen doit comprendre et exprimera son vote par OUI ou NON à la loi qui aura, encore une fois, été rédigée par des représentants, certes élus mais très loin des aspiration du peuple, l’un des défaut de la démocratie représentative, bien connu.

 

Est-ce un avantage de vivre sous la démocratie semi-directe ? Certes oui, l’on est plus proche de nos représentants élus pour autant qu’ils soient accessibles ou qu’ils répondent aux lettres ou aux courriers électroniques. Pour avoir à plusieurs reprises envoyé à un parti politique du courrier électronique sans jamais recevoir réponse de ceux-ci, je doute beaucoup que la démocratie d’aujourd’hui soit une réalité, mais bien plus une illusion. Et comme c’est la forme la plus acceptable pour un pays, je suis plutôt bien content d’être suisse. Ceux qui me diront qu’il est très facile d’être en contact avec nos élus, je pense que ces personnes sont probablement dans la sphère socio-économique de nos élus ou proches avec des liens familiaux ou d’amitiés. Cette forme de contact est certes très directe et est suspect dès que ces liens engendrent des avantages personnels.

 

Le président Allemand a critiqué la démocratie directe, c’est son droit, la libre expression est reconnue en Suisse. Mais faut-il l’écouter ? Notre démocratie doit aujourd’hui demander aux responsables du dernier vote de trouver la solution qui remettra en ordre tous ce qui a été bousculé et ainsi ne plus être sous la critique des démocraties environnantes. Si cela est impossible, reste à abroger la loi dans les trois ans qui viennent et ainsi revenir à l’état qui était le nôtre avant le 9 février. Le peuple peut encore s’exprimer sur le sujet et revenir en arrière, en conformité avec les pays qui se sont exprimés de façon critique à notre égard.

 

GTell

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3 avril 2014 4 03 /04 /avril /2014 17:31

Lausanne-vu-du-pont-Chauderon-1945.jpg

En 1946

 

GTell

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2 avril 2014 3 02 /04 /avril /2014 17:12

 

 

La question est posée et je n’ai pas la réponse encore. Je dois faire quelques bouquinistes pour trouver un vieux livre qui parlerait d’un bon sujet, pas trop ennuyeux et avec des photos pour illustrer l’article.


Donc, aujourd’hui presque rien à par ceci, hier c’était le premier avril.

 

GTell.

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1 avril 2014 2 01 /04 /avril /2014 17:11

 

 

On peut s’étonner qu’en 1917 déjà, en Suisse, on passe commande de locomotives électriques, alors que partout dans le monde on roulera encore longtemps au charbon.

 

Les raisons de ces démarches viennent de la guerre qui pénalisait tous pays qui n’avaient pas de charbon exploitable chez eux. Les belligérants produisaient d’abord pour l’effort de guerre avant de vendre le surplus à d’autres. Ainsi la Suisse n’ayant pas de charbon s’équipait d’un réseau électrique. Et puis c’est un fait, la Suisse et les suisses étaient passionnés des chemins de fer et ont généré beaucoup d’ingénieures et de mathématiciens ferroviaires. (Pour les mêmes raisons, la Suisse se dota d’une marine marchande.)

 

Et en 1919-1920 la fameuse Crocodile était sur rails.

 

 

La particularité de ce modèle de locomotive, est qu’elle est en trois parties, articulées. Celles de couleurs brunes sont les plus anciennes, les vertes, depuis les années 40 est à l’origine du nom « Crocodile ».

 

Ce 6-8 II neu

Crocodile neuve d'époque

 

 

Crocodile historique, été 2013


 

 

GTell. Internet

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31 mars 2014 1 31 /03 /mars /2014 17:04

 

En regardant la carte du parcours des chemins de fer de la Broye on peut être admiratif de cette réalisation qui ne pourrait peut-être pas être réalisé de nos jours. En effet, au regard des enclaves des cantons de Fribourg et de Vaud, on imagine les débats et conventions qui ont étés nécessaire pour arriver au terme de l’entreprise.

 

Regardons de plus près.

 

Point de départ, Palézieux, canton de Vaud, puis on passe dans le canton de Fribourg, puis retour sur Vaud, puis Fribourg, re-Vaud, re-Fribourg, re-Vaud, encore Fribourg, et enfin le canton de Berne.

 

Le nombre de communes est élevé (33), voici les noms :

 

Palézieux, Ecoteaux, Oron-La-Ville, Gillarens, Promasens, Ecublens, Rue, Montet (Glâne), Moudon, Curtilles, Lucens, Villeneuve, Henniez, Marnand, Trey, Payerne, Corcelles-près-Payerne, Dompierre, Domdidier, Avanches, Faoug, Grang, Morat, Meyrier, Muntelier, Galmitz, l’enclave de Morat, Ried b. Kerzzers, Fräschels, Nieederried, Kallnach, Bargen, Aarberg et Lyss.

 

Puis pour Yverdon à Payerne :

 

Yverdon, Cheseaux-Noréaz, Yvonand, Cheyres, Châbles, Font, Estavayer-Le-Lac, Sévaz, Frasses, Montet (Broye), Cugy, Payerne.

 

La nouveauté du train a certainement permit cette réalisation qui est vite devenue une nécessité économique.

 

GTell.

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29 mars 2014 6 29 /03 /mars /2014 17:47

carte.jpg

 

GTell, Cent ans de chemin de fer dans la Boye. 1876-1976

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