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12 décembre 2014 5 12 /12 /décembre /2014 17:26

 

   Faits qui tendent à prouver un abaissement de la température.


   Venetz a recueilli des renseignements auprès de M. Favre député vaudois, au sujet d’une espèce de pont en pierre, souvent recouvert par un petit glacier au col de la Forclaz, au sommet du vallon de Dorbon. Il s’agit d’un bisse devant conduire l’eau de ce glacier ver le versant de Chamoson. Venetz conclut qu’on n’aurait pas entreprit cette construction si l’on eut pu présumer qu’un glacier dût le détruire.

 

      Le col de Fenêtre de Bagne parait avoir été très pratiqué autrefois, au temps de Venetz, il était devenu difficile.

 

   Venetz cite un passage entre Fiesch (Conches) et Grindewald, où il signale une cloche de 1044, ayant appartenu à la chapelle de Ste Pétronille sur ce passage. Le Dictionnaire de Géographie de la Suisse nous apprend qu’elle avait été construite en 1577, sur l’alpage de Nellenbalm ; elle fut détruite lors d’une avance du glacier, sa cloche reparut en 1892, lors d’un recul. Cette chapelle ne jouait aucun rôle pour ce passage qui nous parait impossible, parce qu’il comporte une énorme traversée de glaciers de quelques 26 km., montant jusqu’à 3850 m., à l’Agassizjoch.

 

   Venetz cite le témoignage de plusieurs personnes, en particulier des notaires Inalbon qui auraient vu « un grand trajet de chemin pavé conduisant par le vallon dit Augstkumme, dans la vallée de St-Nicolas ». Nous avons vu au fond de la combe, sous le col d’Augstbord, des pierres enfoncées dans un sol marécageux rappelant un pavage large mais irrégulier. C’est le poids et la reptation de la neige qui a dû disposer les pierres ainsi.

 

   Venetz a recueilli des observations disant que des restes de troncs d’arbres ont été trouvés au Simplon, à Valsorey, au Sanetsch, à Louvie, à une distance considérable au-dessus des forêts. Il a vu des rhododendrons morts à la suite des années froides de 1815-1818, près de la Pierre à Voir, à Pierre à Vire, sur les Alpes d’Albinen, de Loèche, à Thyon.

 

   Faits qui tendent à prouver une augmentation de température

 

   Venetz commence par les glaciers de la région du Mont-Blanc parce que beaucoup de voyageurs qui visitent les Alpes font le tour du Mont-Blanc par les cols du Bonhomme, de la Seigne, et de Ferret. Il s’attache à repérer les anciennes moraines. Il cite celles de la vallée du Bonhomme couvertes d’une épaisse forêt, plus haut, les chalets de la Giéta sont bâtis entre trois moraines ; le glacier était alors à 7000 pieds au-dessus. Les glaciers de l’Allée-Blanche ont de grandes moraines. Une grande moraine se trouve sur le flanc droit du glacier de Brenva ; en 1820, il commence à reculer après avoir renversé une chapelle et des arbres de 200-220 ans. Venetz s’attarde longuement aux moraines des glaciers d’Ameron et du Triolet dans le vallon de Ferret, du côté de Courmayeur. Puis il passe aux glaciers valaisans.

 

   Celui de Saleinaz dans le Val de Ferret lui fournit une preuve spectaculaire d’une ancienne extension. Il a laissé sur sa droite, une énorme moraine de 100 pieds de hauteur, couverte de forêt, et une autre sur sa gauche grande aussi. Il avait jadis occupé le fond de la vallée où se trouve le village de Plan-des-Fours (Praz-de-Fort). C’est, ensuite la vue du Grand Plan (La Breya), qui domine le lac de Champex, que Venetz décrit avec un enthousiasme vibrant. Il signale la vue des moraines du glacier de Boveyre qui s’étendent à une grande distance au-dessous de son extrémité inférieure.

 

   Les glaciers de Bagnes ne pouvaient manquer de tenir une bonne place dans son étude. Chanrion est le point central : pour y arriver on rencontre les glaciers des Breneys et celui de Durand avec leurs moraines, on est en face du glacier du col de Fenêtre qui lui aussi a laissé de belles moraines. L’extrémité du glacier de Lirerose était en juin 1820 à 600 pieds au-dessus d’une moraine. Celui du Crêt a laissé aussi plusieurs moraines, dont l’une entoure une plaine de 300 pieds de diamètre.

 

   Dans une longue note Venetz dit l’intérêt de la vallée de Bagnes pour le naturaliste. Il résume les caractères des roches depuis Martigny jusqu’à Mazériaz et au Pleureur. Il continue par une liste de 50 espèces d’insectes, et 9 espèces de mollusques.

 

   Les moraines du glacier de Rossboden au Simplon lui prouvent d’une manière bien frappante la grosseur gigantesque que ce glacier avait autrefois, étant arrivé tout près du village du Simplon. Un dessin montre clairement vers An der Eggen les six moraines laissées lors de trois extensions.

 

   Le chalet de Lorenze situé près du chemin du Rawyl, commune d’Ayent se trouve dans une plaine autrefois occupée par le glacier de Tenay, qui dans ce moment, ne descend pas de la hauteur d’un rocher qui ferme ce vallon en forme d’amphithéâtre. On trouve une grande moraine couverte de hauts mélèzes entre ce chalet et le grenier du Rawyl.

 

   Venetz a encore observé des moraines dans plusieurs glaciers du Val d’Hérémence, à la montagne du Tounot sur St-Luc, au glacier de Durant en Tzina (Zinal) où il a observé 4 moraines le 16 septembre 1821. La plus éloignée est à 300 pieds de la glace et porte de gros mélèzes, sur la seconde les mélèzes sont de moitié plus petits, la troisième n’en a point, la quatrième est à six pieds de la glace.

 

   La grande moraine de la rive gauche du glacier de Fiesch retient son attention. « Ce glacier, dit-il, doit avoir eu une dimension si démesurée qu’il est impossible de s’en faire une idée sans avoir été sur les lieux, et ce n’est qu’après l’avoir examiné la troisième fois, et sous différents point de vue, que nous avons été convaincus de l’existence de cette moraine ».

 

   Le 22 septembre 1826, il visite le Grimsel, à un quart de lieue avant d’arriver au sommet en venant d’Obergestelen, il décrit les moraines laissées par un ancien glacier qui n’existe plus.

 

...

 

GTell, La vie et l'oeuvre de l'ingénieur Ignace Venetz 1788-1859

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11 décembre 2014 4 11 /12 /décembre /2014 17:05

 

Théorie glaciaire : Playfair d’Edimbourg semble avoir été le premier qui, dès 1802, eut l’idée que les glaciers pouvaient avoir transporté des blocs erratiques. Il ne publia ses idées nouvelles qu’en 1815 dans une note qui passa inaperçue. Venetz n’en eut pas connaissance avant la publication de son mémoire en 1833.

 

   Dans sa séance de 1816 à Berne, la SHSN s’est occupé pour la première fois de l’étude des glaciers. Venetz est reçu membre de la société, il présenta un mémoire pour démontrer comment les corps tombés dans des crevasses reparaissent à la surface, en aval du point de chute, après un temps plus ou moins long. Il ne s’agit point là d’une force occulte, mais de la fonte de la glace superficielle combinée avec l’avance du glacier ; Venetz ne connaissait pas la constitution intérieure des glaciers, il croyait qu’ils avançaient à cause du regel de l’eau de fusion qui pénétrait dans leurs fissures. Il rejetait l’opinion alors admise que la fusion se faisait surtout par la base, il démontrait que c’est presque uniquement par la surface, ce qui n’est pas le cas, il pensait que la température était très basse à l’intérieur des glaciers. On sait aujourd’hui que, au-dessous de la limite des névés, le froid de l’hiver et des nuits d’été ne gèle qu’une croûte peu épaisse de la surface dont la masse reste constamment à une température voisine de 0°.

 

   En 1817, à la réunion de Zurich, la SHSN avait posé cette question : « Est-il vrai que, depuis un certain nombre d’années, le climat des hautes Alpes de la Suisse soit devenu plus froid et plus rigoureux ? Adjoindre à cette dissertation des observations sur l’accroissement et la diminution des glaciers, et en déterminer les causes ».

 

   Un travail fourni par K. Kasthofer en 1820, engagea la SHSN à formuler sa question de la manière suivante : « Mémoire sur les variations de la température dans les Alpes de la Suisse ». Cette fois la réponse viendra de Venetz, elle était déjà rédigée en 1821, mais ne fut publiée qu’en 1833. Venetz n’avait pas attendu la demande de la SHSN pour étudier les glaciers. Tout jeune il a dû accompagner les hommes de sa commune de Visperterminen à l’ancien bisse « Hido » alimenté par les eaux du glacier du Galenhorn et les deux « Niven » dont les eaux proviennent du glacier de la Gamsa. Comme ingénieur de l’Etat son travail professionnel le conduisit souvent vers les glaciers. En 1811 il est à Mattmark, en 1815 à ceux du Gorner et de Z’Mutt, en 1817 à celui des Eaux Froides au Simplon. Nullement influencé par les superstitions dont les glaciers sont l’objet, ne croyant pas du tout au rôle du déluge, il va les interroger sur place. Homme enthousiaste, il possède une idée, il la retrouvera partout au cours de sa vie. Malgré ses occupations et ses soucis pour élever une nombreuse famille il trouve le temps et le courage pour parcourir de vastes territoires en haute montagne, en Valais et dans le massif du Mont-Blanc, à une époque où il fallait se déplacer à pieds.

 

2. Analyse et résumé du Mémoire sur les variations de la température dans les Alpes suisses. [Rédigé en 1821, publié en 1833]

 

   Dans son introduction, Venetz indique les difficultés du sujet proposé ; il faut parcourir de vastes territoires et faire des observations avec une attention suivie. On ne possède pas de mesures thermométriques portant sur de longs siècles. A ce défaut il faut recourir à d’autres moyens par lesquels on pourra juger approximativement de l’état de la température.

 

   L’état actuel et antérieur des forêts peut conduire à des erreurs parce que leur recul peut être le fait de la main destructive de l’homme.

 

   Si on découvre des passages fréquentés dans les montagnes qui étaient autrefois obstrués par des glaciers, ou des chemins libres autrefois et aujourd’hui impraticables, ces faits peuvent être admis.

 

   Mais rien ne lui parait plus propre à faire connaître la température des temps reculés que l’augmentation ou la diminution des glaciers parce qu’elle est la conséquence de l’élévation ou l’abaissement de la ligne des neiges persistantes.

 

GTell, La vie et l'oeuvre de l'ingénieur Ignace Venetz 1788-1859

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10 décembre 2014 3 10 /12 /décembre /2014 16:56

 

Le-glacier-d-Aletsch.jpg

Le Glacier d'Aletsch

 

En complément de toutes les infos déjà publiées ici sur le sujet, voici une suite qui finira avantageusement l’histoire de l’ingénieur I. Venetz


   Tout le monde admet actuellement que, à l’âge quartenaire, les glaciers avaient acquis une très grande extension. On leur attribue le transport du terrain et des blocs erratiques, ainsi qu’une large part de l’érosion des vallées et de la formation des lacs. La possession de ces vérités qui ont agrandi le domaine de la science géologique ne suffit pas à notre esprit, nous voulons savoir au prix de quels travaux, et par qui elles ont été conquises, nous voulons suivre l’évolution des théories proposées pour arriver à la solution des problèmes qui se lient à ces grands faits. [A. Falsan : La période glaciaire étudiée principalement en France et en Suisse, Paris, 1889]

 

1. Auteurs anciens : Pendant de longs siècles l’homme en face de la nature surtout dans les Alpes, n’éprouva que des émotions de crainte et de terreur, ou une admiration confuse. Il n’essaya pas d’étudier les phénomènes afin de découvrir leurs causes et leurs lois, il les attribua à l’action mystérieuse d’êtres chimériques. Pour les Grecs, l’Etna était l’entrée des forges de Vulcain, les vents étaient le souffle d’Eole, les galets de la Crau d’Arles, les alluvions de la Durance et du Rhône étaient pour Eschyle et Strabon des cailloux lancés par Hercule ou Jupiter contre un ennemi. Les fées, les génies se sont substitués aux créations mythologiques pendant le Moyen-Age et encore bien plus tard.

 

   Ecole physico-théologique : Dans les œuvres de Bernard Palissy (1580) on trouve des essais de géologie ; le danois Sténon (1669) fit faire des progrès à cette science. Mais il cherchait à concilier ses idées avec les Ecritures Saintes et le récit du déluge mosaïque. Il supposait que les eaux diluviennes provenaient de l’intérieur de la terre où elles s’étaient réfugiées lors de la séparation de la terre et de la mer. De nombreux théologiens italiens, allemands, anglais, français prirent part aux discussions scientifiques.

 

   Théories diluviennes scientifiques : On ne savait pas encore faire la distinction entre les alluvions et le terrain erratique. C’était le charriage des gros blocs qui compliquait la question. On continua à croire que l’agent de transport principal était l’eau. Pour bien situer l’état d’esprit qui régnait au moment où Venetz entreprit son étude, il est utile de résumer les hypothèses émises afin d’expliquer le transport des blocs erratiques ; elles sont présentées et réfutées par de Charpentier. [Jean de CHARPENTIER : Essai sur les glaciers et le terrain erratique du bassin du Rhône, Lausanne 1841, 363 p.]

 

   Dolomieu et Ebel admettent un plan incliné reliant les Alpes au Jura en pente plus ou moins uniforme, sur lequel les blocs erratiques, peut-être secondés par l’eau, auraient glissé. La distribution du terrain erratique et l’insuffisance de la pente s’opposent à cette hypothèse.

 

   Théorie des radeaux de glace chargés de débris, flottant sur une nappe d’eau. La limite des terrains erratiques devrait former une ligne horizontale, or ce n’est pas le cas.

 

   De Luc attribue les terrains erratiques à des explosions de gaz qui les auraient projetés !

 

   De Buch imagine des courants de boue qui auraient pu entraîner les blocs plus facilement.

 

   De Saussure lui-même n’a pas pu se soustraire à l’influence des théories diluviennes. Il crut à une secousse du globe qui aurait entrouvert de grosses cavités dans les Alpes, d’où les eaux auraient entraîné les blocs.

 

   Escher de la Linth adopte l’hypothèse des courants dont il explique l’origine par des lacs occupant les vallées alpines ; les barrières se seraient rompues.  (Mémoire lu à la SHSN* en 1819). L’hypothèse de ces barres à l’entrée des vallées est en opposition avec leur mode de formation.

 

   Elie de Beaumont cherche la cause des courants dans la fonte soudaine des glaciers par l’action de gaz chauds.

 

   On est surpris de constater combien la théorie diluvienne a été défendue avec vigueur et opiniâtreté jusqu’au début du 19e siècle, malgré son insuffisance. La raison de cette attitude doit être cherchée dans le fait que les hommes de science de cette époque se livraient à des spéculations dans leurs cabinets de travail, sans aller examiner les glaciers dans leurs retraites. Ils vivaient encore sous l’influence de la crainte qu’ils inspiraient. Ils les regardaient comme des masses inertes et ne pouvaient comprendre leur force immense comme agent de transport. « Il ne subissaient pas ce charme puissant qui nous attire vers les grands spectacles que la nature offre à notre admiration. On ne ressentait pas encore cet attrait qui, chaque année, appelle de nombreux touristes vers les profondes vallées, les glaciers pleins de mystères et de dangers, ou qui les pousse vers les sommets les plus escarpés ». (A. Falsan).

 

* Société Helvétique des Sciences Naturelles (SHSN)

 

GTell, La vie et l'oeuvre de l'ingénieur Ignace Venetz 1788-1859

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9 décembre 2014 2 09 /12 /décembre /2014 17:18

 

 Avec cette série de photographies sur les années de la MOB, du moins celles des années 39, 40 et 41 a permis pour la première fois que mon indice de satisfaction et de fréquentation, dépasse 50 points, soit 54. L’indice est calculé chaque jour et indique ainsi votre plaisir à me suivre, il s’affiche de zéro à 100. Je ne peux que vous remerciez de votre présence sur mon Blog.

 

GTell

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8 décembre 2014 1 08 /12 /décembre /2014 18:59

 

Voilà, c’est fini pour Le Régiment de Fribourg vous parle…, bien que j’aie plus montré les photos qui illustrent le livre que les textes qui sont forcément patriotique avec des élans lyriques qui ne sont plus d’actualité. Vous en avez quelques exemples avec le « Serment » et le « Défilé » qui illustre bien comment s’exprimait le rédacteur militaire, sous la censure de l’époque.

 

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GTell, Le Régiment de Fribourg vous parle...

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7 décembre 2014 7 07 /12 /décembre /2014 17:39

 

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A gauche: Lt. J. Ramus, collaborateur technique, au centre Plt. A. Thalmann auteur du volume, à droite, Plt. W. Wettstein collaborateur technique.

 

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LE REGIMENT DE FRIBOURG VOUS PARLE

 

   Officiers, sous-officiers et soldats de notre régiment, que de jours déjà depuis le 2 septembre 1939 !

   Les longs mois de service actif nous ont rapprochés les uns des autres et ont créé, entre nous, des liens solides que le temps n’effacera plus.

   Nous avons vécu les mêmes soucis, les mêmes plaisirs ; nous avons veillé ensemble, marché sur les mêmes routes, creusé le même sol. Que vous portiez le numéro 7, le 14, le 15 ou le 16, nous sommes tous de la même famille, soldats du régiment de Fribourg. Plus tard nous nous souviendrons et nos souvenirs feront revivre les choses du passé. Il fallait que ces deux premières années de mobilisation soient illustrées par le texte et par l’image ; il fallait créer, pour vous, un livre dans lequel vous retrouverez les visages de vos chefs et de vos camarades comme aussi les paysages témoins de votre activité.

   Nous vous apportons aujourd’hui ce livre d’or du régiment 7, qui vous parle de ce que vous avez fait pour le Pays et dans lequel vos enfants liront l’éloge de leur père.

 

L’officier chargé de l’élaboration de l’album :

Plt. A. Thalmann

 

 

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6 décembre 2014 6 06 /12 /décembre /2014 17:29

 

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Le général Guisan et quelques-uns de nos chefs pendant l'exercice de tir combiné, à Iffigenalp.

 

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Le Colonel-divisionnaire Petitpierre.

 

 

 

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5 décembre 2014 5 05 /12 /décembre /2014 17:09

 

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Le capitaine-aumônier Paul von der Weid

 

L’aumônier était aimé de la troupe. Si vous avez lu les articles sur les Diables Verts ici sur mon blog, vous aurez en mémoire ce qui en était dit sur lui. À l’époque le réconfort spirituel et moral était important pour tous et l’aumônier contrebalançait avantageusement la rigueur disciplinaire des officiers.

 

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Notre Général

 

 

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4 décembre 2014 4 04 /12 /décembre /2014 16:49

 

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Le général inspecte le Bat. fus. mont. 14

(toujours la cigarette en bouche)

 

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Lieutenant-colonel H. Muheim

 

 

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3 décembre 2014 3 03 /12 /décembre /2014 17:30

 

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Le général inspecte.

 

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Le lieut-col. Remy, en tournée d'inspection avec ses commandants de compagnie.

(regardez les chaussures à tricounis)

 

Tricouni

 

Un Tricouni est un clou à pointes, antidérapant, utilisé pour les chaussures d’alpinisme. Utilisé également par différentes armées, il permet une bonne adhérence au sol. Le Tricouni a été inventé par un sertisseur genevois, Félix-Valentin Genecand, dit « Tricouni » (1878-1957), également célèbre alpiniste (en tout cas deux sommets portent son nom ou surnom : Mont Genecand en Antarctique, Pic Tricouni au Canada).

 

À ce jour, les Triconis se fabriquent toujours et sont disponibles via la société Tricouni basée à Bulle, en Suisse.

Wikipédia

 

Pour en savoir plus : http://www.tricouni.com/?page_id=18&lang=fr

 

GTell, Internet et Le Régiment de Fribourg vous parle...

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